28/09/2009
Pour une formation réellement collaborative au marketing collaboratif
Peut-on réellement imaginer une formation au Marketing 2.0 - c'est-à-dire au marketing collaboratif - qui ne soit pas elle-même ... collaborative ?
Tel sera le challenge de celle que j'animerai les 22 Octobre après midi et 25 Novembre prochains, dans le cadre du Laboratoire Assurance Banque.
C'est pourquoi nous l'avons volontairement scindée en deux sessions séparées d'un bon mois, non pas pour permettre aux stagiaires de se reposer ... mais au contraire de travailler - collaborativement en plus !
Concrètement, le 22 Octobre seront abordés les fondamentaux du marketing collaboratif, de la révolution Web 1.0 et à l'apparition d'un Empowered Consumer, à celle du Web 2.0 et à la naissance du concept d'intelligence collective, etc.
Mais cette première demi-journée sera aussi consacrée à la découverte d'une nouvelle démarche d'études marketing : le blog collaboratif ; la session se terminera par la mise en œuvre d'un blog de ce type en partenariat avec la société Panel On The Web.
Et pendant les 4 semaines suivantes, les stagiaires sont apprendre à dialoguer, échanger entre eux sur cette plateforme ... et partir en quête d'informations, de cas concrets en vue de leur seconde session.
Seconde session qui se construira ainsi peu à peu conformément à leurs besoins et attentes.
Dès lors, le journée du 25 Novembre alternera théorie - approfondissement des conditions requises et aspects méthodologiques du passage d'un marketing classique à un marketing collaboratif - et expertise de grands témoins : Anne Cleval, Responsable des sites Internet de la MACSF, Caroline Diaz, Fondatrice de Boléro.
Le marketing 2.0 ne s'apprend ni dans les livres, ni sur les bancs des centres de formation : il s'apprend par la pratique, et l'exercice de ces deux journées - enfin de cette journée et demie - sera d'apprendre aux stagiaires à apprendre tous les jours, en pratiquant et en osant.
On ne s'invente plus marketer dans le monde du 2.0 : on le vit au quotidien.
Programme complet, renseignements et inscriptions ici.
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27/09/2009
Un hôtel à vous glacer le sang
Je viens de recevoir d'une amie de Chicago - c'est pas loin de la frontière canadienne - quelques photos de cet Hôtel de Glace situé à quelques kilomètres de la ville de Quebec, près de Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, au cœur de la "station touristique Duchesnay".
Disparaissant avec les premiers beaux jours, cet hôtel est reconstruit chaque hiver - mais jamais à l'identique : chaque année, son comité artistique en réinvente l’aménagement et le design.
Pour l'heure, nul ne sait encore trop à quoi ressemblera précisément le hall d'accueil début Janvier 2010 quand il ouvrira à nouveau ses portes pour 3 mois ; ainsi l'hiver dernier, les décors du Bar de Glace s’inspiraient de l’architecture gothique, avec gargouilles et voûtes de neige
36 suites attendent les touristes, et une chapelle si d'aventure ils décident d'y célébrer leur mariage !
Attention : dans les chambres, la température ne dépasse pas les 3° Celsius, mais la direction ne lésine pas sur les couvertures et les couettes !
Comptez quand même 179$ canadiens par personne et par nuit - incluant notamment "une boisson chaude servie le matin" et "l'équipement complet pour la nuit : sac de couchage nordique, drap polartech et oreiller".
Aspirine en sus.
Pour réserver, c'est ici.
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22/09/2009
Appel d'offres "en deux temps"
Récemment, Daniel Bô, qui rédige plus vite que son ombre, a publié sur son - ou plutôt un de ses - blog un intéressant article sur l'épineux problème de la rentabilité des études - en précisant bien : du point de vue d'un institut !
Il y évoque notamment l'appel d'offres "en deux temps" que j'avais lancé pour le compte de Microsoft il y a un peu plus d'un an, "en commençant par un appel d'offre élargi avec une note d'intention méthodologique et une fourchette budgétaire, suivi par un appel d'offre restreint avec 2 ou 3 instituts sélectionnés".
Pour Daniel, "cette démarche en deux temps est fairplay car seuls les instituts pré-sélectionnés font l'effort de développer le dossier complet".
Mais l'annonceur - que je conseillais ici dans son approche méthodologique - y trouve-t-il pareil intérêt ?
Car finalement, n'est-ce pas multiplier les efforts ... pour un même résultat ?
Bien sûr que non !
Tout d'abord, ce projet présentait l'extrême avantage de ne pas se gérer dans l'urgence : avec Microsoft, nous développions une réelle et complexe réflexion sur les stratégies d'influence en matière d'achat automobile, en prenant le temps nécessaire pour la conduire à bien.
Ensuite, nous ne voulions surtout pas conduire les instituts interrogés dans des directions sclérosantes, fondées sur de forts a priori - les nôtres, bien évidemment. Or un brief très précis à deux ou trois instituts pertinemment sélectionnés conduit nécessairement ces derniers à proposer des démarches méthodologiques déjà fortement orientées ... avant même qu'ils ne prennent le crayon.
Et même, le profil des instituts retenus - des qualitatifs très pointus, ou des généralistes de la toile, ou des spécialistes de la réputation des marques, etc. - conditionne beaucoup le brief et ferme trop de portes : lors de l'heure que va durer l'exposé des besoins, et les réponses aux questions des instituts, petit à petit se construisent des évidences ... qui n'ont pas lieu d'être.
Et après on s'étonne que tout le monde propose peu ou prou la même démarche : c'est forcément la bonne !
Non, c'est la seule possible ... en raison des conditions du brief et des discussions qui ont suivi, d'autant qu'on réinjecte, plus ou moins consciemment, les conclusions d'une rencontre dans la suivante : bref, ça fait boule de neige, ça converge, et on croit détenir la vérité.
D'un autre côté, on ne peut se permettre de briefer 10 instituts pendant une heure et leur demander de lourds projets - même si la fonction copier / coller fait des merveilles ...
C'est pourquoi je préfère un brief succinct, éventuellement juste communiqué par voie électronique avec de brefs échanges téléphoniques, et des réponses en 2 ou 3 pages maximum dans un premier temps : la créativité n'est pas bridée, et les meilleurs pourront revenir pour le second tour, avec rencontres en face à face et échanges plus élaborés.
J'ai souvent pratiqué cette démarche quand je dirigeais les études marketing de Thomson, et plutôt avec succès - en tous cas, avec de forts gains en créativité.
Certainement est-ce pour cela que Panel On The Web, qui a gagné l'appel d'offres et réalisé l'étude pour Microsoft, a reçu un Trophée d'or, lors du Semo 2008.
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15/09/2009
So beautiful! it sound so real !
On peut découvrir de vraies pépites sur la toile, comme en témoigne ce clip que vient de me faire découvrir Olivier.
Postée sur You Tube le 13 juillet 2009, la vidéo a déjà été vue près de 60 000 fois et la blogosphère commence à la relayer, un peu partout dans le monde.
Question : qui a enregistré ce petit chef d'œuvre ?
Pas réussi à le découvrir !
Alors comme Jo, qui l'a découverte dès la mi Juillet, je ne peux que dire : "I would recommend that you just close your eyes and listen to it first and then watch the visual. I don’t know who orchestrated it and where did this happen, so if any of you get any more info on this, please pass on".
Ou plus brièvement, comme sur les commentaires de You Tube : "Easily the most impressive thing I have seen on YouTube! Bravissimo!"
Si par hasard comme connaissez les artistes, merci d'ajouter un commentaire.
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14/09/2009
Waouh, sa carte bleue a du chauffer !
Même si vous ne connaissez pas l'expression "faire chauffer sa carte bleue", la métaphore me semble assez évidente ...
Et si vous n'avez toujours pas compris, Linguapop en donne l'explication suivante, claire bien que partiale : "Expression que certains machos utilisent en parlant des pratiques acheteuses de leur(s) femmes."
Tout ça pour dire que l'on reste dans l'image ... sauf que lorsqu'on regarde ces distributeurs de billets : on retombe brutalement dans le réel ! Quel est l'inconscient qui a voulu se montrer si dépensier ?
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