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09/11/2006

Le P2P 2.0 ?

medium_emule.jpgRécemment Internet Actu titrait, subtilement interrogatif : Le P2P s’essouffle-t-il ? 1

Le P2P, ou Peer to Peer, vous vous souvenez : le violent combat entre Napster, puis KaZaa, Gnutella et autres eMule, et les majors l’édition musicale… et qui s’achevait par le développement de plateformes de téléchargement gratuites avec la bénédiction des dites majors !2

En fait, ce qui s’essouffle surtout ici, c’est l’outil de mesure : aujourd’hui, une part grandissante des échanges s’effectue au travers des réseaux de type BitTorrent.

BitTorrent ? Un système 2P2 qui accélère la diffusion des fichiers les plus populaires en obligeant tout utilisateur ayant téléchargé une partie de l’information à devenir immédiatement serveur à son tour pour cette partie, tout en recevant le reste.

Avantage : un indéniable gain en rapidité ; inconvénient : les fichiers les moins demandés demeurent introuvables, contrairement aux réseaux classiques de P2P, plus lents mais plus riches.3

Or, contrairement à ses prédécesseurs, le trafic sur les réseaux de type BitTorrent est impossible à mesurer : « Cet “essoufflement” exprimerait plutôt la migration des adeptes du P2P sur de nouvelles applications et de nouveaux réseaux, mais il semble difficile à ceux qui avancent cet argument de le prouver. Il y aurait quelques 6 millions d’utilisateurs recensés sur une partie des réseaux BitTorrent et Azureus… »4

En d’autres termes, le P2P ne s’est jamais si bien porté… d’autant qu’apparaissent ça et là des solutions plus discrètes parce que cryptées, comme Mute ou ANts4.

Avec BitTorrent, et surtout Mute et ANts, nous pénétrons dans le futur du P2P ; inversement, avec YouTube et MySpace, on se croirait presque revenu au bon vieux temps pionner de Napster… sauf que les membres de ces réseaux ne sont plus des étudiants boutonneux désireux de découvrir les derniers tubes rock ou rap : selon le Journal du Net du 06/10/2006, la moitié des membres de MySpace sont âgés de plus de 35 ans.

Par contre, comme Napster en son temps, YouTube et MySpace commencent à s’attirer les foudres des propriétaires de contenus : pas nécessairement les mêmes, pas de manière identique, mais bis repetita !

Là par exemple, ce sont la NBA et certaines ligues professionnelles de football qui accusent la plate-forme de violer les droits de diffusion achetés à prix d’or par les grandes chaînes : la cible n’est plus la même, le contexte non plus… mais les enjeux demeurent : la libre circulation de ce que l’on aime.

Ce qui change également, c’est que désormais ce n’est plus une petite plateforme bien sympathique qui subit les foudres des puissants, mais au travers de YouTube, Google qui vient de débourser plus d’un milliard et demi de dollars pour s’emparer du fleuron de Web 2.0.

Ce n’est ici qu’un des multiples malheurs de Google dans le domaine de la diffusion des contenus protégés : en Belgique, l'association des journaux francophones a obtenu la condamnation de Google News pour copie d'articles sans paiement des droits d'auteur.

Alors, YouTube, Napster, même combat ? Pas vraiment ?

Et si finalement YouTube, ce n’était pas simplement la dérive capitalistique de Web 2.0 ? A méditer…

1 et 4 http://www.internetactu.net/

2 Voir notamment : Chronique d’une mort annoncée, note du 08.09.2006.

3 Pour en savoir plus : http://fr.wikipedia.org/wiki/BitTorrent

4 Pour en savoir plus : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mute et http://fr.wikipedia.org/wiki/ANts_P2P

4 http://www.journaldunet.com/

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04/11/2006

A « 4 », on saute ?

medium_Singe_LLM.jpgJ’ai encore raté une occasion de gonfler le trafic de ce blog : puisque je parle – encore ! – ici de Loïc Le Meur, j’aurais du mettre son nom dans le titre de la note. Normalement, ça attire les visiteurs : lui avait su placer en exergue le Prince Albert II de Monaco.*

Si je parle donc de lui, c’est parce qu’en me promenant sur Netvibes, un titre a attiré mon regard : Xavier Niel de Free répond aux détracteurs de la Free Software Foundation. Xavier Niel, qui venait de d’écoper de deux ans d'emprisonnement avec sursis pour recel d'abus de biens sociaux : il se servait dans les caisses de sex-shop dans lesquels il avait investi.** Bref, je m’attendais à du croustillant, dans la droite ligne éditoriale à la Voici que donnait récemment LLM à son blog.

Perdu : d’une part, il ne s’agissait que de sombres problèmes techniques – on s’étripe volontiers en ce moment sur la planète des logiciels libres ; et d’autre part, le papier de LLM lui se limitait… à un simple renvoi vers le blog de Jérémie Berrebi qui avait réussi à obtenir l’interview exclusive de Xavier Niel. Du coup, LLM n’avait qu’à poster un lien sur son propre blog pour capter une partie du trafic ! Bien joué : aussi doué que ces dépanneurs qui ont nommé leur société AAA pour apparaître en haut des Pages Jaunes.

Et en traînassant sur le blog de LLM, j’ai senti mon sang se glacer : Le tour du monde avec les participants du Web3 ! Ça y est, me voilà encore en retard d’un Web, déjà que j’ai pris le train de Web 2.0 au vol ! Je suis sûr qu’au train où vont les choses, d’aucuns nous concoctent déjà du Web 4.0 !

En remontant les pages du blog de LLM – pas du tout pratique, je préfère nettement l’ergonomie de BlogSpirit –, j’ai trouvé l’origine de… Comment dire ? L’arnaque ? La supercherie ? ou plus simplement, la grosse tête ! « Les Blogs 3: inscriptions ouvertes. Nous venons d'ouvrir les inscriptions pour Les Blogs 3. Le nouveau nom est Le Web 3, je voulais que ce soit plus large que seulement les blogs. Nous attendons près de 1000 blogueurs et acteurs du Web2 à Paris les 11 et 12 décembre ».****

Nous attendons [les] acteurs du Web2 : c’est ça Web 3.0 ?

Ouf ! LLM n’est pas Tim O’Reilly, Web 3.0 ne sera jamais le papier fondateur d’un nouvel Internet, juste le coup de publicité d’un type un peu trop mégalo. Vous avez encore un peu le temps de vous acclimater aux blogs, aux wikis et autres flux RSS, Web 2.0 n’est ni mort, ni old fashioned !

Pour finir, par curiosité, j’ai tapé Loïc Le Meur sur Google… et suis tombé sur un papier assez croquignolet intitulé : Accusé LLM, levez-vous ! que je vous invite à lire : c’est assez rafraîchissant !*****

Et encore, à l’époque, LLM ne plagiait pas Stéphane Bern ! Stéphane Bern, celui de gotha-fr, le « Portail des Têtes Couronnées » ! Mais là, on n’est plus Web 2.0, 3.0, 5.0 ou plus, seulement un peu aristos !******

* Note du 22.10.2006

** http://www.silicon.fr/fr/silicon/news/2006/10/27/xavier-n...

*** http://www.berrebi.org

**** Franchement, ai-je besoin de vous indiquer l’URL du blog de LLM ?

***** http://standblog.org/blog/2005/03/27/93114084-accuse-loic...

****** http://www.gotha-fr.com/

 

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26/10/2006

Arnaques

medium_Arnaque.jpgPremière arnaque

Mon téléphone portable qui sonne, très brièvement, sans me laisser le temps de décrocher : j’appuie instinctivement sur la touche rappel pour entendre un robot me proposer d’appuyer sur « *1 » pour participer à une enquête rétribuée… en me précisant que cet appel me sera facturé 56 centimes !

De retour au bureau, je tape 0 897 12 00 32 sur l’annuaire inversé – sans résultat – puis sur Google… et découvre que je ne suis pas la victime isolée de l’escroc :

« Hier, à 19h30, mon portable se manifeste. Une seule sonnerie. je vois rapidement le début du n° et sans méfiance je rappelle pensant à un membre de ma famille. Une boite vocale m'annonce un organisme de sondage taxé à 0,56c. Pensant à une arnaque, j'ai raccroché. »

Bref un arnaque classique qui consiste à inciter les victimes à rappeler un numéro surtaxé : où ça se corse, c’est que l’escroc fait porter le chapeau à la profession des études de marché. Question : le Syntec ne devrait-il pas porter plainte et saisir l’opérateur téléphonique complice ?

Seconde arnaque

Un ami me conseille d’aller faire un tout sur le forum de aufeminin.com : édifiant ! En fait, c’est la bourse aux réunions de groupes consommateurs : un jour, il faudra que je me penche un peu plus sur ce petit trafic, juste histoire d’identifier recruteurs et instituts coupables de pratiques peu déontologiques.

La rubrique : Argent, Travail et bons plans - Vie pratique comprend en effet un forum : Réunions de consommatrices ! Sic ! Et l’on découvre l’offre de segolene931 (Royal ?) qui propose :

« RECHERCHE CONSOMMATEURS OU CONSOMMATRICES SUR TOUTE LA FRANCE POUR REUNIONS RENUMEREES.

Merci de demander votre fiche d'inscription à : christmarketingrecrut@yahoo.fr »

Si le cœur vous en dit, un petit mail à segolene931.

Mais je pourrais aussi bien parler de elizabeth427 qui, elle, ne donne pas son mail :

« Bonjour Mesdames, ce petit mail pour vous faire partager une superbe offre pour vos enfants âgés entre 13 et 17 ans. il suffit de s'inscrire pour participer à une réunion qui dure 3heures trente, dans le département 92. Remercié par un chèque de 45 !!!

Un petit Noël avant l'heure... »

La parole est aussi aux consommatrices, comme rosemay751:

« Je me suis inscrite sur http://www.paroles-et-idees.com/ un site de tests rémunérés... c'est plutôt sympa... Connaissez-vous un site ou un forum qui regroupe tous les sites de réunions de groupes ? »

Mais l’arnaque se cache peu plus loin, un mot signé cathie68 :

« Entre 20 et 75 euros l'enquête et 15 euros le filleul. Si vous êtes intéressé, allez sur le site : http://www.enquetes-online.com/ et inscrivez mon adresse email dans l'encadrement du parrain : cleblanc@wanadoo.fr »

Et quand on se rend sur le site concerné, on découvre que :

« L’inscription au site http://www.enquetes-online.com est forfaitaire : pour les membres non parrainés, 40€ seront nécessaires à l’inscription. »

Evidemment, cela décourage les plaisantins comme moi…

La société qui est derrière tout cela s’appelle NY ENTREPRISE, domiciliée à Bordeaux ; et si l’on tape NY ENTREPRISE sur Google, on repart sur… http://www.lesarnaques.com/ : et là, on découvre des tas de consommateurs qui se plaignent d’avoir versé 40€ en vain. Bref de s’être fait pigeonner !

Et voilà, encore une fois on arnaque – enfin, semble-t-il – des consommateurs trop crédules… pour faire porter le chapeau aux professionnels du marketing !

Ils sont dû en avoir des pigeons, grâce à leur efficace système de parrainage : 15€ par filleul recruté, ça vous permet de récupérer rapidement ses 40€ d’inscription… et c’est l’effet boule de neige garanti.

Bien sûr, s’il ne s’agit pas d’une arnaque, mais de la simple mesquinerie de quelques consommateurs aigris, je serais heureux de publier un rectificatif.

En attendant, à transmettre également au Syntec.
 

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16/10/2006

Marketingisdead… is born !

En ouvrant ce blog, fin mars, je notais :medium_grateful_dead.jpg

Le marketing est à réinventer : toutes les recettes apprises sur les bancs des business schools sont désormais caduques […]. Un nouveau citoyen, est né, qui glisse soudain entre les doigts des marketers […]. Puisque nos concitoyens sont en train d’inventer un nouveau monde, à nous d’inventer un nouveau marketing. Vite, très vite : les jeunes poussent !

Inventer un nouveau marketing ! Un beau challenge auquel j’ai envie de pleinement participer : je ne me sens l’âme, ni d’un spectateur, ni d’un théoricien. Commenter l’actualité sur ce blog, lancer des idées, participer à des réflexions, c’est bien. Mais plus suffisant : il est temps pour moi de passer à autre chose, construire – participer à la construction – d’un nouveau marketing.

Un marketing de type Web 2.0* que j’aimerais bien construire avec vous. D’où le lien : « Marketingisdead - Le Site » qui apparaît désormais dans la colonne de gauche de ce blog.

Marketingisdead – le Marketingisdead que vous connaissez – reste et restera toujours un blog – celui des 1000 internautes qui prennent plaisir à me rendre visite et à dialoguer avec moi.

Mais Marketingisdead, c’est aussi – ou plutôt ce sera bientôt – un projet… ou plus précisément un ensemble de projets et d’expériences : car en ce début de millénaire où notre société vient d’être coup sur coup secouée par deux révolutions – Web 1.0, Web 2.0 –, plus que jamais il convient d’expérimenter de nouvelles approches, là où les traditionnelles ne fonctionnent plus.

Web 1.0 – la révolution digitale, les NTIC, la Nouvelle Economie, etc. – permit au consommateur de reprendre en main sa destinée, de lutter à armes égales avec les marques ; d’en dénoncer les abus, d’en négocier les prix, etc. Web 1.0, ce fut encore le P2P qui permit aux adolescents de narguer les majors de l’édition musicale, avant leur capitulation.**

Web 2.0, c’est la possibilité offerte à tout un chacun de passer outre les structures établies, les pouvoirs les plus divers et les marques ; ce sont les Arctic Monkeys***  qui se classent au top des charts anglais sans l’aide des majors, et MySpace et YouTube qui les renverront bientôt aux oubliettes de l’histoire.

Comment définir ce nouveau Marketingisdead ? Un peu comme Web 2.0, parce que Marketingisdead  ne sera pas : ni une société d’études ou de conseil en marketing ; et encore moins la coquille d’un consultant – car là, ce serait vraiment replonger dans l’avant Web 1.0 !

Marketingisdead, je le vois plutôt comme un générateur d’idées – au cœur d’une multitude de mini think tanks : pour réinvestiguer la valeur des marques après No Logo, pour promouvoir la notion de Consumer Insight, pour valoriser les démarches fondées sur l’observation, pour développer la quête des signaux faibles, etc. Sans oublier les sciences cognitives, l’ethnographie, les systèmes de Palo Alto, etc.

Se placer au cœur d’une multitude de mini think tanks, c’est avant tout tendre la main à tous ceux qui partagent ma vision de notre société – et du marketing, d’un marketing en pleine reconstruction ; c’est initier des collaborations, des chantiers ; et aussi répondre présent à ceux amorcent de semblables démarches.

Grâce à Web 2.0, notre société se maille et ça et là apparaissent des nœuds de connaissance ; le projet Marketingisdead souhaite participer à ce maillage, se situer à un carrefour d’échanges… et j’attends vos suggestions.

J’attends vos suggestions… et je les solliciterai, en suggérant des démarches, lançant des projets, partageant avec vous succès et échecs.

Marketingisdead - Le Site constitue pour moi une pétition de principe, une vision forte de la société d’aujourd’hui : la principale erreur des conseils aujourd’hui – marketing, études, communication, etc. –, c’est de prétendre résoudre les problématiques les plus compliquées sans vision forte à la base.

Et pourtant, on ne conduit pas une entreprise, quelque soit sa taille, en se contenant d’appliquer des recettes consciencieusement apprises sur les bancs de la faculté ou des écoles de commerce.

Ce faisant, je me coupe de bon nombre de clients potentiels… sans regrets, car je ne souhaite conseiller que des entreprises partageant ma vision du monde. Tout simplement, parce que c’est la bonne, celle que je présente depuis près de six mois sur Marketingisdead - Le Blog.

J’ai déjà inscrit quelques projets sur le site ; mais la plupart verront le jour au fil des mois à venir. La plupart, je les partagerai avec vous ici même – en commençant, très prochainement par We Are The Market, un site de consommation citoyenne.

A suivre donc…

PS : difficile d’illustrer cette note. Alors pourquoi pas une pochette de Grateful Dead, un des groupes les plus dynamiques de la West Cost, né en 1965 à… Palo Alto !

PS bis : je ne sais si le site conservera ultérieurement le même nom que le blog, mais c’est assez facile à retenir, Marketingisdead : si vous avez de meilleures suggestions, je suis preneur.

* Voir ma note du 19.09.2006 : Web 2.0. et les Etudes Marketing !

** Voir ma note du 08.09.2006 : Chronique d’une mort annoncée.

*** Voir ma note du 08.09.2006 : 13.05.2006 : Retour sur les Arctic Monkeys.

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03/10/2006

Tokyo Game Show

medium_Tokyo_Game_Show.jpgLes 22, 23 et 24 Septembre derniers s’est tenu à Chiba l’édition 2006 du Tokyo Game Show, sur le thème : New Excitement – New Sensations – A New Generation. Le premier jour du salon est traditionnellement réservé aux professionnels du secteur alors que les deux suivants sont ouverts au public. Pour bien comprendre l’engouement des Japonais pour les jeux vidéo, sachez que cette année le Tokyo Game Show a accueilli 193 000 visiteurs – dont 40 000 professionnels et… 23 000 enfants de moins de 12 ans !

Tous les grands du jeu rivalisent d’imagination et d’audace pour les attirer sur leurs stands – si l’on peut qualifier d’audace des hôtesses tellement peu vêtues que Paris Plage évoque un Couvent de Bénédictines. Tous sauf Nintendo, qui le boycotte depuis l'origine – Nintendo dont la DS Lite s'est déjà écoulée à près de 4 millions d'unités depuis son lancement en mars dernier sur l'Archipel !

Pour en savoir plus sur le Tokyo Game Show, rendez-vous sur les blogs des français vivant au Japon, et notamment :

http://tokyo.viabloga.com/news/51.shtml

http://www.docteeboh.net/blog/?p=306

Comment se tenir au courant – évidemment très partiellement, mais en un clin d’œil – de l’actualité sociétale nippone ? J’ai agrégé dans une page Netvibes les flux RSS d’une douzaine d’expatriés français et les parcours de temps à autres, en sirotant mon café matinale : un petit outil artisanal de veille bien sympathique – et de quoi glaner quelques signaux faibles…

Et pour ceux qui ne connaissent pas encore Netvibes, l’adresse à consulter d’urgence : http://www.netvibes.com/.

09:09 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | Pin it!