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18/04/2007

Saison des rencontres

medium_nuit_marketing.3.jpg
Le printemps, c’est vraiment la période de l’année où il convient de faire le tri parmi toutes les invitations que l’on reçoit. Je ne parle pas obligations « mondaines », mais conférences, séminaires et autres ateliers…

Déjà celle qui me tient le plus à cœur : la Nuit du Marketing, le 28 Juin au Pré Catalan, dans le bois de Boulogne avec : Florence Devouard, Présidente Europe de Wikimedia Foundation ; Anne Thevenet, Directrice Prospective et Nouveaux Concepts du Groupe Danone ; Jacques Veyrat, Président Directeur Général de Neuf Cegetel ; et …le Coup de Coeur de l'Adetem – un super projet à découvrir en primeur !

Là, pas de danger, je ne compte pas parmi les orateurs !

Par contre, après les Apéros du Jeudi du 26 avril où je joue les Connecteurs, j’interviens :

  • Le 4 Juin, à la Journée d’étude de SCIP France consacrée aux : Blogs et fils RSS pour les organisations – à la FIAP, rue Cabanis, Paris 14ièmehttp://www.scip-france.org
  • Le 6 Juin, aux 1ères Rencontres Réseaux de l’Innovation organisée par : Product Development & Management Association – au Karé Magik, à Boulogne Billancourt - www.pdma-france.org
  • Le 13 Juin, dans le cadre d’i-expo, lors d’un atelier : Web 2.0 : quelles opportunités dans les pratiques professionnelles ? – Paris Expo, Porte de Versailles – http://www.i-expo.net
  • Le 19 Juin, lors d’une conférence organisée par Stratégies : Marketing participatif & Médias interactifs – Tiens ! le lieu n’est pas encore précisé sur le programme ! J’espère qu’ils n’oublieront pas de me le préciser en temps utile !
  • Le 21 Juin, lors d’un atelier organisé par l’Anvie sur l’Evolution de la Consommation : ça, c’est plus récent, le programme n’est pas encore totalement bouclé.

… et le 28 Juin, je pourrai enfin aller écouter les autres à la Nuit du Marketing !              

 

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16/04/2007

Suis-je un connecteur ?

medium_Bellevilloise.jpgJe viens de recevoir un mail de Jeremy Dumont des Apéros du Jeudi qui lance une Fédération des Connecteurs : « Viens t'exprimer sur l'opportunité de regrouper "le peuple des connecteurs" comme l'appelle Thierry Crouzet ».

« Qui sommes nous ? Avons nous besoin d'appliquer entre nous ce que nous faisons pour les autres ? Quelle est notre courbe d'apprentissage ? Faut il se laisser récupérer par les marques qui souhaitent devenir des médias et regrouper leur communautés ? »

Vaste programme pour débuter les prochains Apéros du Jeudi qui auront lieu à la Bellevilloise le jeudi 26 avril, de 19 à 23 heures – 19, rue Boyer, dans le 20ième, métro Gambetta ou Ménilmontant.

A votre avis, suis-je un connecteur ? Mais au fait, c’est quoi, un connecteur ?

 

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09/04/2007

Analyser la communication 2

medium_Analyser_la_communication.gifAnalyser la communication 2*… et non 2.0 ! Je sais, j’ai déjà fait la même remarque pour Fabriquer le futur 2 : mais en ces temps où la mode est au Web 2.0 et à ses dérivés : Marketing 2.0, Consommateur 2.0, etc., il convient quand même de préciser.

Il y a dix ans, paraissait Analyser la communication : « Un recueil d’analyse de différents types d’occurrences de communication […] avec une forte orientation empirique et méthodologique pour offrir un outil de travail au nombre croissant d’individus confrontés à la nécessité de réaliser des analyses approfondies d’occurrences de communication », précise l’introduction.

Un projet – un ouvrage – non sans évoquer les travaux de l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, sous la direction de Roland Barthes, et qui aboutiront à la publication du fameux numéro 8 de la revue Communications consacré à L’analyse structurale du récit.

L’ouvrage, publié sous la direction d’Andrea Semprini, et sous-titré : Comment analyser la communication dans son contexte socioculturel, se présente ainsi :

« Le poids et l'importance sociale de la communication se développent dans toutes les sphères de la vie contemporaine. Trop souvent, toutefois, on se limite à analyser la communication de façon technique, sans interroger sa relation avec le contexte socioculturel et sans savoir lire, en filigrane, les implications pour les individus et pour les groupes sociaux.

« Les approches présentées dans ce recueil privilégient les dimensions sociales et culturelles de la discursivité et vont au-delà d'une simple analyse technique de la communication. Elles étudient non seulement ce que la communication dit, mais aussi pourquoi elle le dit et de quelle manière ce qui est dit peut avoir un impact et des implications sur la création de mondes possibles et sur le fonctionnement de l'espace social.

« Des médias d'information (télévision, presse magazine) aux sites Internet (Edf, Adidas), de la communication politique (Berlusconi) à la mise en scène d'un espace commercial (Colette), des timbres de l'époque coloniale à la publicité (Ferrero, Absolut, PIayStation, Vuitton, construction de la catégorie des Seniors par la publicité ), Analyser la communication 2 offre une sélection d'analyses qui partagent une même perspective, celle d'un regard socio-sémiotique ».

Parmi la quinzaine de papiers, un a particulièrement retenu mon attention : Les Seniors : cible publicitaire et représentation sociale, signé d’Alyette Defrance. Dans les jours qui viennent, je prolongerai d’ailleurs ce billet d’un interview d’Alyette.

* L’Harmattan, 2007.

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04/04/2007

Chronique d’une mort annoncée : j’avais raison !

medium_Pomme_croquee.2.jpgSous le titre : Chronique d’une mort annoncée, j’écrivais dans ces colonnes, le 8 Septembre 2006 : « Je souhaiterais évoquer le cas d’Apple – et plus particulièrement de son offre musicale fondée sur le trinôme : marque / produit / services ».*

Et de pointer du doigt parmi les défauts gravissime dans la cuirasse de la firme de Compertino le verrouillage de l’ensemble « par un standard privatif, l’Advanced Audio Coding : les fichiers iTunes ne sont lisibles que sur les baladeurs… iPod ».*

Vous allez me dire : Apple ne s’est jamais si bien porté… et c’est vrai !

Sauf que Steve Job, le pourfendeur absolu de l’interopérabilité – en bon français, la possibilité de lire sur tout baladeur les fichiers en provenance de n’importe quelle source ;

Steve Job qui vilipendait la loi Dadvsi – qui instaurait timidement cette interopérabilité – parce qu’allait faire « s'effondrer les ventes de musique en ligne juste au moment ou les alternatives légales commençaient à séduire les clients »* ;

Steve Job qui parlait de « piratage sponsorisé par l'Etat »* ;

Steve Job donc, vient de passer avec armes et bagages dans le camp adverse… et de signer un accord historique avec le président de EMI, Eric Nicoli, en acceptant de vendre sans verrou aucun l’intégralité du catalogue de la maison de disque, de Norah Jones à Gorillaz en passant par Robbie Williams.

Retourner sa veste et avaler des couleuvres est certainement moins dramatique que mourir au front : mais, in fine, j’avais raison : la position de Steve Job était intenable et suicidaire.

Au delà de l’anecdote – l’honneur et les affaires n’ont jamais fait bon ménage -, cet accord me semble ô combien historique : il marque une nouvelle et capitale étape vers la disparition totale et définitive des DRM – les fameux Digital Rights Management – censés protégés les contenus numériques contre le piratage… et qui ne font que générer le piratage.

Ils génèrent le piratage parce que les hackers les cassent plus vite que les firmes les mettent au point… et que dès lors, il est plus aisé de récupérer un fichier mp3 sur le P2P que l’acheter sur iTunes.

Mais surtout, les DRM apparaissent comme l’ultime combat d’arrière-garde de professions qui n’ont pas compris que le monde évoluaient bien plus vite qu’elles ne le réalisaient – et surtout qu’elles n’étaient capables de s’adapter.

Car il n’y a pas que la musique qui est concernée : le livre, et plus particulièrement l’édition scientifique et professionnelle, entre aujourd’hui en pleine zone de turbulence. Et d’ailleurs, les DRM se sont invités en guest stars au dernier Salon du Livre !

Normal : les auteurs se trouvent de plus en plus confrontés à des éditeurs incompétents, qui ne s’intéressent qu’aux pré-ventes sans trop se soucier des contenus… et qui oublient que bien des auteurs préfèreraient voir leur pensée circuler gratuitement plutôt que de rester sans promotion en fond de rayons.

Un peu comme bien des artistes qui diffusent gratuitement leur musique sur Internet pour attirer les jeunes dans les salles de concert. Un peu comme les Artic Monkeys et Clap Your Hands Say Yeah : si ces noms ne vous disent rien, jetez un œil sur ma note du 13 Mai 2006.

* Voir ma note du 08.09.2006

02/04/2007

Minorités, innovations… et Poisson d’Avril

medium_poisson.jpgEt même un vieux Poisson d’Avril dont j’ai retrouvé la trace dans Libération ce matin : il date de 1998 et valut à Burger King des milliers de demandes pour le nouvel hamburger.*

A l’an prochain…

* Voir évidemment ma note du 1 Avril. 

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