11/06/2008
Avant la Nuit ...
21:01 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Max Guazzini va se coucher tard … le 3 juillet
Du "terroir" amateur aux projecteurs, des affres de la D2 aux multi-titres de Champions de France, l’histoire du Stade Français a évidemment tout du conte de fées moderne.
Et pour cause, à l’impossible, Max Guazzini est tenu ! Troquant son costume d’attaché de presse de Dalida et "d’oreilles" de NRJ contre celui de président du club de rugby parisien, cet ancien avocat a osé transgresser les règles du rugby amateur.
Au programme : recrutement ambitieux, spectacle décomplexé à grand renfort d’icônes glamour (Madonna et Naomi Campbell en tête), de calendriers singulièrement dénudés et de maillot rose, mais surtout pricing à la serpe pour amener les femmes et les familles au stade...
Résultat, 5 titres de Champion de France, une Coupe de France et 2 titres de vice Champion d’Europe plus loin, Max Guazzini a bel et bien bouleversé un monde parisien qui tourne désormais ovale.
Aucun doute, il est libre Max Guazzini !
Sans doute ... mais pourquoi va-t-il se coucher tard le 3 juillet ? Parce qu'il est l'un des invités vedettes de la Nuit du Marketing de l'Adetem.
Pour s’inscrire c’est : ici.
17:44 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
07/06/2008
Le Marketing 2.0, vu par Alain Montembault*
- Nous sommes persuadés que ce travail collaboratif n’a de valeur que dans des situations précises (ex : à domicile ou au bureau, à jeun ou en fin de repas, seul ou à plusieurs …). La description d’une situation reste complexe car multidimensionnelle.
- Cette première étape ne suffit pas car le sens de la situation est apporté par le groupe de personnes qui agit. Ce n’est pas l’environnement qui donne le sens mais les individus (ex : décorer une salle en hall de gare ne transforme pas les personnes en voyageurs). Chaque individu apporte sa propre histoire et s’investit différemment. Le recrutement de "lead-users" impliqués par le bénéfice nutritionnel et santé de la catégorie de produit permet d’augmenter la pertinence des résultats.
- Et il faut ensuite mettre nos nouveaux partenaires en action. Le mouvement libère les comportements très analytiques, logiques et rationnels (ex : substituer un souvenir sur l’utilisation d’un packaging dans le réfrigérateur par une démonstration réelle permet d’identifier plus sûrement des éléments d’insatisfaction, …).
16:03 Publié dans Interviews 2.0 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
06/06/2008
Arrêtez les emailings !
C'est décidément la journée des coups de pieds qui se perdent (voir mon billet précédent) !
Sauf que là, c'est vraiment limite : Ludopia interactive, une société de service en marketing direct, a réussi à déposer en 2005 le terme “emailing” auprès de l’INPI. Jusqu'à présent, l'aberration était passée inaperçu : normalement, l'INPI n'accepte pas les termes du langage courant. Imaginez : vous déposez "internet" et vous en interdisez l'utilisation !
Sauf que voilà : Ludopia interactive a décidé de faire valoir ses droits ! Ne riez pas : tapez "emailing" sur Google, et vous constaterez que les liens sponsorisés ont disparu ... car désormais, seul Ludopia interactive peut exploiter le terme.
Il y a de fortes chances qu'un tribunal invalide le dépot : l'INPI, c'est une simple chambre d'enregistrement, sans force de loi, heureusement ... mais d'ici là, Ludopia interactive aura réussi à jeter le trouble.
C'est vrai que l'on pourrait employer le terme de courriel comme au Canada, mais d'ici à ce que les habitudes changent, bien de l'encre électronique risque de couler.
Que peut-on faire alors ?
Un, signer la pétition lancée par Message Business, c'est rapide.
Deux, refuser de travailler avec Ludopia interactive, c'est vraiment facile, il doit y avoir des tas de boites qui font le même boulot, aussi bien et au même prix ... et qui sont plus éthiques.
Trois, boycotter l'INPI qui a accepté un tel dépot : zut, on ne peut pas, c'est dommage !
Quatre, renoncer aux emailings pour des formes plus douces de communication : mais là, faut pas rêver, on n'a pas fini de nettoyer nos boites aux lettres !
20:45 Publié dans Un peu de bon sens | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Achetez donc en ligne
Avez-vous déjà essayé d'acheter rapidement un appareil à la FNAC Saint Lazare ? Assez impressionnant et très dur !
Ce matin, entre deux rendez-vous, je décide de m'y arrêter pour acheter un petit camescope Sanyo histoire de me lancer dans le podcast - faut bien faire moderne !
Je patiente 5 minutes au comptoir où depuis déjà un bout de temps le vendeur explique à des clients comment copier un film sur un Mac : y a rien de standard, moi je suis PC, etc. Et me voyant m'impatienter, il me gratifie d'un sympathique : "J'en ai encore pour un bon moment, allez à un autre rayon" ... sauf qu'il n'y a personne aux autres rayons, sinon peut-être à la télévision!
Je descends à l'accueil et demande innocemment comment faire pour acheter mon camescope ... rapidement ? Dois-je aller chez Surcouf, j'avance, narquois ?
Le gars de l'accueil me dis ne rien pouvoir quant aux vendeurs, mais de m'expliquer gentiment que "Surcouf, il suffit de tourner à gauche vers le boulevard Haussmann, et c'est à 5 minutes".
Je sais qu'il ne risque pas grand chose : l'offre chez Surcouf est particulièrement indigente. Mais quand même : il y a des coups de pieds qui se perdent !
On comprend le succès du commerce en ligne !
19:55 Publié dans Un peu de bon sens | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook | |