Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/06/2007

Bonne nouvelle pour les chômeurs

c3a201932c9aee7d9a97b710f05e1e83.jpgEnfin certains…

Découvert dans actuchomage.org du 2 Avril 2007 : « En octobre 2003 […] une discrète mesure a été prise par arrêté du Bureau de l’Assemblée Nationale, prévoyant que les députés qui ne seront pas réélus aux législatives du 17 juin 2007 pourront bénéficier pendant cinq ans - soit le temps d'une législature complète… - d’une indemnité dégressive ».

Avant, c’était six mois… soit 10 fois moins. C’est pratique de faire la loi.

 

Vaches et hippopotames à la Nuit du Marketing

1f2938fa7e5829c7e158fc0405ecabc9.pngPlus 400 invités réunis ce jeudi au Pré Catelan, la Nuit du Marketing a connu pour sa seconde édition un réel succès : le plateau était de choix avec Florence Devouard, présidente de Wikimedia Foundation, et Jacques Veyrat, président de Neuf Cegetel.

Puis la soirée a tournée au bestiaire avec la venue d’Anne Thevenet, directrice Prospective et Nouveaux Concepts de Danone, suivie de deux charmantes vaches, pour nous parler de l’aventure bio de son groupe… mais je pense qu’une petite interview s’imposera à la rentrée.

Et après les vaches, l’hippopotame du coup de cœur de l’Adetem : l’animal fétiche d’Hippon, la toute jeune société de Gilles Santini. Comment, vous ne connaissez pas encore Hippon : laissons Gilles s’en expliquer.

Marketingisdead : Hippon, en deux phrases, c'est quoi ?

Gilles : Hippon permet au sein d’un groupe d’utilisateurs connectés dans un réseau de rechercher anonymement et confidentiellement un contact susceptible de disposer de compétences lui permettant de répondre à une question posée par un autre utilisateur ou de planifier puis d’établir avec ce dernier une session de discussion électronique pour en débattre.

Marketingisdead : Pour chercher de l'information sur Internet, il y a pléthore de moyens, dont Google : alors, pourquoi Hippon, en plus ?

Gilles : Les moteurs de recherche permettent de localiser des documents utiles pour un problème.

Souvent néanmoins, ce n’est point tant un document que l’on recherche qu’un individu qualifié, susceptible d’apporter un éclairage sur un problème ou une question donnée auxquels on est confronté.

La difficulté est que celui qui a besoin d’une réponse ne connaît pas tous les autres membres du réseau, ni leurs compétences, ceux-ci n’étant d’ailleurs ni forcement disponibles, ni prêts à un échange qui ne serait pas confidentiel.

Hippon opère donc comme un GPS dans le réseau pour trouver l’interlocuteur qui est utile puis organise les échanges de façon équilibrée, sécurisée et exclusive.

Marketingisdead  :Hippon est anonyme : ça veut dire, que je peux répondre n'importe quelle bêtise en totale impunité.

Gilles : Absolument pas. D’abord si vous dîtes une bêtise vous ne le direz qu’à une seule personne et en plus à une personne que vous ne connaissez pas : aucun  intérêt puisque c’est totalement inefficace. Ensuite vous vous exposeriez  à être mal noté ce qui affecterait votre score de compétence dans la catégorie de savoir concernée. Dès lors le système vous sollicitera de moins en moins et vous ne gagnez plus de points pour pouvoir poser vos propre question avec pour conséquence que vous sortirez progressivement du réseau.

Par ailleurs le système est conçu de telle façon qu’un jugement négatif à un effet beaucoup plus fort qu’un jugement positif : même les meilleurs ont intérêt à ne répondre que s’ils sont sûrs de leur contribution.

Marketingisdead : Finalement, Hippon, c'est plus un réseau social qu'un moteur de recherche. Hippon, c'est Web 2.0 ?

Gilles : Oui pour sa fonction “social search engine” et son mécanisme d’évolution des scores de compétence fondé sur le jugement du réseau, mais avec un zeste en plus ! 

Précision : l’Adetem aime tellement Hippon – et vice versa – que dès septembre, tous ses membres pourront l’utiliser gratuitement.

 

26/06/2007

Un blog est né…

cf1640c2b4c3731fa74543e7959774b8.jpg… celui de mon copain Luciano Bosio : il parle des médias, et surtout de la presse, puisque Luciano est chez Publiprint.

Bon, il débute, mais je pense qu’il vaut mieux le surveiller du coin de l’œil.

 

http://www.publiprint.fr/blog/

 

 

22:54 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | Pin it!

Eric et Ramzy découvrent le Web 2.0

b01ded204833ab106c3225cc96ed9cb6.jpgLes banques ne savent pas vraiment parler aux jeunes : il suffit de regarder la télévision – enfin les écrans publicitaires – pour s’en convaincre ! Vous avez certainement remarqué la conviction avec laquelle une brave jeunette se qualifie de « jeune active » avant que son interlocuteur ne se rue spontanément sur le portemanteau…

Alors quand j’ai reçu un lien vers le site de BNP Paribas, avec pour commentaire : « BNP Paribas part à la conquête des 18-29 ans », je l’avoue, je m’attendais au pire… Quoique…

Quoique je me souvenais de ma dernière rencontre avec Antoine Sire, le dircom de la banque : on s’était retrouvé sur le plateau de l’Atelier Numérique, sur BFM : je venais parler de WeAreTheMarket*, lui tenait sa chronique – son Crash Test, tout un programme.

L’Atelier Numérique, à la fois sérieux et déjanté, et force est de reconnaître qu’Antoine Sire ne laisse pas sa place aux copains, question rigolade ; c’était même une soirée mémorable – même si l’émission ne passait pas en directe, où on coupait les micros pour manger les nouvelles Danette apportées par l’autre invité…

Et c’est vrai que la BNP n’a pas grand chose de nouveau à dire : dans la banque, tout le monde copie tout le monde – et en plus, Bercy encadre tout ! Mais au moins, le dire en rigolant, c’est quand même plus… drôle – je sais, c’est une tautologie.

Comme un ado, je me suis même inscrit sur le site "tapluskentrer.com", pour jouer à une espèce de jeu digne de Super Mario, version… enfin, version d’avant. Marrant : j’espère que ma date de naissance ne m’empêchera pas de gagner le gros lot.

Le making off, quant à lui, est évidemment sur dailymotion : http://www.dailymotion.com/video/x2ayis_tak-entrer-la-pub...

Et c’est là qu’on s’aperçoit que le buzz n’est pas vraiment maîtrisable puisque, juste au-dessus s’affichait une autre vidéo : "Que les gros salaires baissent la tête", dénonçant les rémunérations des patrons du CAC 40… avec une belle photo de celui de BNP Paribas. C’est ça le buzz, c’est ça le Web 2.0.

* Pour ceux qui ne connaissent pas encore WeAreTheMarket, voir ma note du 13.11.2006

22:35 Publié dans Publicité | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | Pin it!

23/06/2007

People Rock ? Papy rock ?

medium_Stones.JPGJ’étais dans la tribune, avec Robert (Hossein, 80 ans), Michel (Delpech, 61 ans), Daniel (Auteuil, 57 ans), et quelques autres… et même François (Fillon, 54 ans), comme l’a annoncé sur scène Mick (Jagger, 64 ans) : « Vous avez de la chance, Paris, vous avez votre nouveau Premier Ministre, monsieur Fillon ! ».

De la chance ? A voir, mais je pardonne Mick, il est anglais…

Les Rolling Stones en concert, ce sera toujours un événement, indépendamment des people sur les gradins : un événement plus nostalgique que hard, parce que le spectacle, fruit d’une longue complicité – il suffit de voir Keith Richards blaguer avec Ron Wood dans le dos de Mick Jagger -,  s’écrit quand même au passé.

Car malgré son titre, la tournée ne doit pas grand chose au dernier album éponyme, A Bigger Bang : on a surtout eu droit à un magnifique Sympathy for the Devil, un tout aussi extraordinaire Jumpin' Jack Flash, même si, personnellement, j’ai toujours un faible pour Tumbling Dice, de leur premier double album : Exile on Main Street !

Au présent, le hard rock, dans sa version minimaliste, ce sont les White Stripes : en concert au Zénith, lundi 11, après une expérience alternative au sein des Raconteurs, Jack White occupait presque seul la scène, jonglant d’une guitare et d’un micro à l’autre.

Presque seul, puisque les White Stripes, ce sont juste Jack et Meg White, elle à la batterie, un couple bien étrange de la scène américaine, issu de Detroit, certainement pas un des endroits les plus sympathiques à vivre des Etats Unis.

Ce qui est avant tout génial avec les White Stripes, c’est le son quasiment brut qui s’échappe de la guitare de Jack, soutenu à la perfection par les rythmes de batterie extrêmement basiques de Meg – femme, ex-femme, voire sœur, selon la légende qu’ils ont essayé de se construire.

Le dernier événement rock du printemps, ce sera le concert de mes copains de Licite Fondation à l’Elysée Montmartre le 30 juin pour la finale nationale Emergenza, après leur succès au New Monring.*

Et les Who ? Je n’ai pas eu le courage de les revoir sur scène, sans Keith Moon, ni John Entwistle, 35 ans après un extraordinaire concert à Amsterdam ; et surtout pas le courage d’entendre un Roger Daltrey dont la voix aurait enfin mué !

Nota : si vous souhaitez soutenir Licite Fondation le 30 juin à l’Elysée Montmartre, vous pouvez, avant le 29 juin, commander le pass deux jours au prix de 15 euros à : lf@licitefondation.net, et vous recevrez en prime leur CD gratuit !

* Voir l’interview des guitariste et bassiste dans ma note du 21 Avril dernier.