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14/09/2013

Charles et PressMyWeb : rencontre avec de jeunes marketers

Charles.jpgPressMyWeb, pour ceux qui ne connaissent pas encore, est un blog prometteur que l’on peut découvrir en cliquant sur le lien à gauche, rubrique : P'tits jeunes – en fait, ils ont plutôt rapidement grandit !

Charles, que j’avais rencontré lors de l’avant-première du film Sherlock Holmes II – voir ici

MarketingIsDead : Les blogs, Twitter, Facebook, etc. : pourrais-tu, en quelques lignes, évoquer ta rencontre avec les médias sociaux ?

Charles de PressMyWeb : Ma rencontre ? Aussi surprenant que cela puisse paraître  elle fut...tardive. Bien entendu j'avais connaissance de nombreux réseaux sociaux mais j'étais plutôt réservé quant à ceux-ci, je dirais que j'observais beaucoup pour comprendre comment ils allaient changer une part de nos moeurs.

MarketingIsDead : Qu’apporte, pour toi, l’écoute des discussions des consommateurs sur les médias sociaux aux annonceurs ?

Charles de PressMyWeb : Sociologiquement je trouve ça très très intéressant. On se rend compte que derrière un ordinateur ou un pseudo beaucoup de réactions ne sont pas les mêmes que dans la vraie vie. Au delà de cet aspect les réseaux sociaux sont une mine d'informations et de retour marché ou client.

Aujourd'hui les consommateurs nous font part directement de leurs idées, de leurs questions ou de leurs problèmes, même plus besoin de faire des enquêtes :)

Les annonceurs n'ont plus qu'à ouvrir grand leurs oreilles.

La où les choses se compliquent, en revanche, c'est qu'il faut réussir à capter le volume de messages, regrouper ceux-ci et les trier. Le vrai travail est dans l'analyse plus que dans la collecte.

Les marques auraient tort de se priver de cette écoute.

MarketingIsDead : Les forums avant-hier, les blogs hier, Facebook aujourd’hui : tout va très vite, le Web social se fragmente. Vers quoi tendons-nous ? Un discours de plus en plus pertinent, ou une immense cacophonie ?

Charles de PressMyWeb : Si il fallait choisir entre discours de plus en plus pertinent, ou une immense cacophonie je dirai une immense cacophonie dans le sens où, de plus en plus, chaque consommateur va pouvoir s'exprimer sur internet, que ce soit avec l'aide d'un blog, Twitter, un forum, ... Bref un même consommateur peut s'exprimer de plusieurs manières sans que l'annonceur puisse (pour le moment) faire le lien entre tous ces commentaires.

De plus en plus de réseaux sociaux ouvrent et permettent la communication sous toutes ses formes, les annonceurs devront donc être à la pointe pour capter ces nouveaux réseaux, les intégrer dans leur veille et continuer à exploiter leurs données clientes.

Dans un contexte économique morose, il est encore possible de créer de l'emploi dans les années à venir ;)

09/09/2013

Nouvelles cartes

Mercredi 7 août 13, le vol 143 d’Air India survole l’Europe en provenance de Delhi : l’avion, c’est un superbe Dreamliner, le dernier né un peu (beaucoup ?) futuriste de Boeing – celui-là même qui s’est illustré par les défauts de ses batteries lithium-manganèse.

Ce qui est sympa dans les avions modernes, c’est qu’on peut (presque) s’imaginer à la place du pilote – enfin, on peut suivre l’évolution du vol au-dessus des continents … et réviser sa géographie comme le montrent ces deux cartes que j’ai photographiées.

J’espère que les pilotes en ont de moins fantaisistes !

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04/09/2013

Bovary is dead!

Bovary21.jpgJ’ai eu la chance de lire cet été en « avant-première » le dernier opus de mon ami Georges Lewi : Bovary21.

En fait, c’est un des 3 ouvrages que j’ai emporté en vacances avec deux sommités : le dernier Murakami et L’homme qui rit.

Pour moi, il existe deux types de romans (= de mon point de vue de lecteur) : ceux que je ne peux terminer, tellement ils sont boursoufflés d’inutile (j’ai calé sur L’homme qui rit, tellement Hugo se la joue puits de science verbeux – le même travers que pour les derniers Eco) ; et ceux que j’achève en passant la vitesse supérieure (comme 1Q84, que j’ai lu d’une traite).

Bien évidemment, je ne comparerai Bovary21 ni à l’un, ni à l’autre : mais j’avoue avoir passé un bon moment ! Il se lit facilement, comme un policier : en fait, on attend depuis le début de savoir comment Georges va tuer son héroïne.

Son éditeur (en 4ième de couverture) dit que le livre flingue à tout va dans le petit monde du marketing … mais l’auteur commence par lui-même, avec un petit « Georges » mort né.

Et puis il y a aussi le nom du blog d’Emma, La tendance est morte, qui n’est pas sans m’évoquer un certain marketing, lui aussi décédé !

Difficile quand on est impliqué dans le marketing de prendre du recul par rapport à l’histoire : un roman, et notamment la suite de Flaubert, reste un roman, mais il est clair que la génération Y se prêtait bien à ce traité.

J’attends avec impatience la pièce de théâtre – puisque l’auteur évoque sur son blog un triptyque, avec l’essai Les Nouveaux Bovary !

16:50 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | Pin it!

Adetem : la photo au pouvoir

adetem logo.gifEntre respect de l'intimité et surexposition personnelle, quels sont les leviers marketing à retenir ?

Il semble loin le temps où la devise « Le poids des mots, le choc des photos » appartenait au seul magazine Paris Match et par extension au monde des médias. La photo, dans sa fonction d'influence et de mobilisation, s'est démocratisée. L'arrivée du numérique conjuguée à la vague des médias sociaux n'a fait que précipiter les choses. Plus de plus de 300 millions de photos sont partagées sur les réseaux sociaux par jour. Les particuliers sont devenus des médias à eux tout seuls. Ils partagent sur Instagram, géolocalisent leurs clichés sur Foursquare, recommandent sur Pinterest, se font liker sur Facebook et hashtagent sur Twitter. Une mise en scène d'eux-mêmes et des services et produits qu'ils consomment.

Malgré cette tendance grandissante à s'afficher de plus en plus, à vouloir tout prendre en photo, tout filmer, l'intérêt porté par les internautes à la protection de leur intimité commence à prendre de l'importance et l'on note par endroit une social fatigue qui s'installe. Dès lors, une question se pose : tout est-il permis? Les marques peuvent-elles exploiter cette tendance à outrance ou y a-t-il un code particulier à appliquer et des précautions à prendre? Comment peuvent-elles transformer ce goût pour l'image en effet de levier marketing? Peut-on aller plus loin en associant ses salariés et clients à la production collaborative d'un fond photographique?

Pour répondre à ces questions, le Club Marketing 2.0 de l’Adetem organise une matinée le 18 septembre prochain, avec :

  • Yaëlle Teicher, Social Media Manager, Galeries Lafayette
  • ­Thierry Fischer, Responsable du pôle multimédia à la direction de la communication, ONF
  • ­Naël Hamameh, co-fondateur et DG de l'agence You to You
  • ­Olivier Desbiey, Chargé d’études prospectives, CNIL
  • ­Alexis Thobellem, Danone Group Central Digital Team Member - Social Media & Connected Objects, Danone
  • ­Séverine Bourlet, Fondatrice de Tribegram

Pour plus de renseignements et s’inscrire, c’est ici.

10:28 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | Pin it!

02/09/2013

Réseaux sociaux internes : de l'animation des forces de vente à l'innovation collaborative

Social-Media.jpgQuand on parle de réseaux sociaux, on imagine aisément ces conversations sans fin sur Facebook où les marques discutent plus ou moins agréablement avec leurs amis et clients ; on imagine (presque) tout aussi facilement des espaces collaboratifs où ces mêmes marques construisent avec ces mêmes clients et amis produits et services de demain.

Par contre, on imagine moins aisément ce que pourrait apporter à l’entreprise la mise en œuvre d’un (plus ou moins) vaste réseau social interne où les collaborateurs entameraient d’interminables conversations … au lieu de travailler : il y a déjà la machine à café pour ça !

Et pourtant, non seulement les réseaux sociaux d’entreprise - les RSE - ça fonctionne … mais ça permet aux entreprises qui les développent de gagner tant en productivité qu’en innovation !

Paradoxal ? Non, parce que d’une part, de nombreux salariés auxquels on ne pense jamais (parce que ce n’est la mission pour laquelle ils ont été engagés) peuvent avoir des idées susceptibles d’améliorer l’efficacité de leur entreprise, notamment en matière d’innovation ; mais aussi parce que dans des groupes aux contours géographiques très vastes, seuls les RSE peuvent permettre à des collaborateurs - et notamment les forces de vente - qui ne se rencontreront jamais physiquement, de participer à l’intelligence collective de leur entreprise.

Pour en parler, le LAB organise le 17 Septembre une matinée avec :

  • Matthias Viry, CEO de 3ème monde et spécialiste des RSE,
  • Damien de Bloteau, Responsable Innovation d’AG2R La Mondiale,
  • Valérie Cussac, Responsable Programme Formation de l’Université Groupama,
  • Stéphanie Tremier, Responsable de la MM@cadémie, l’université d’entreprise de MMA.

Une table ronde permettra ensuite d’approfondir les avantages mais aussi mieux cerner les réticences à la mise en pratiques de tels projets, avec notamment la participation d’Allianz, la Société Générale et Orange.

Pour s'inscrire, c'est ici.

12:00 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | Pin it!