Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/10/2010

Même pas peur ...

Cocker.jpg... de Facebook !

C'est vrai que les manières d'agir du nouveau tigre de papier électronique laissent quelque peu à désirer ... mais comme je n'ai rien à cacher !

Enfin, ce n'est pas totalement vrai, je n'ai qu'une utilisation de Facebook trop limitée pour courir de réels risques : les messages importants, je les réserve pour ce blog - on réagit moins impulsivement sur un blog.

Mon utilisation de Facebook s'apparente plus à une forme de communication phatique - relisez Roman Jakobson, ou jetez un œil sur Wikipédia : « Il y a des messages qui servent essentiellement à établir, prolonger, ou interrompre la communication, à vérifier que le circuit fonctionne ».

Pour moi, Facebook c'est juste le moyen de rester en contact avec des tas de copains que j'aime bien - je suis ce qu'ils disent, et vice versa puisque le fil du blog y est repris, de temps en temps, on s'échange quelques petits trucs. Parfois, cela permet de retrouver des amis dont on était sans nouvelle.

C'est un peu comme se balader dans les rues d'un village, on salue de ci, delà, c'est sympa, mais sans conséquence.

C'est sympa quand vous copains vous souhaitent votre anniversaire : et d'un post sur mon blog, je les en remercie.

Faut dire que la date est remarquable : 10/10/10.

10 Octobre 1954 ... 10 Octobre 2010 : difficile de se tromper, ça n'arrive qu'un fois dans la vie, et encore si on n'est pas né le 13, ou le 14 ...

Belle anniversaire, le 14/14/14 : une réforme plus sérieuse que celle des retraites à envisager. Un calendrier plus équitable.

Je divague ... et me sauve : ce soir, il y a Joe Cocker qui passe au Zénith, ça ne se rate pas : With a Little Help from My Friends !

Merci à tous mes amis, sur Facebook et ailleurs !

17:31 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | Pin it!

Les commentaires sont fermés.