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08/01/2015

Présumé voleur ?

voleur.gifLe dernière fois que j’ai acheté un livre à la FNAC, on rentrait les mains dans les poches dans le magasin et on ressortait de même, sauf si le portique de contrôle sonnait … ce qui m’est arrivé une fois : mauvais réglage, et là, les vigiles se prennent pour des policiers plus que zélés – qu’ils ne sont évidemment pas.

Aujourd’hui, Plan Vigipirate oblige, il faut ouvrir son sac à l’entrée : c’est normal, et d’ailleurs une petite notre précise que la direction du magasin s’excuse … bla bla bla.

Je ressors un livre à la main, rien de sonne : logique, je l’ai payé. Et zou, le vigile me demande ma facture ! Indépendamment du fait que j’avais les pieds hors du magasin et que son « autorité » était éteinte, j’ai trouvé la méthode surprenante.

Profiter du Plan Vigipirate pour fliquer ses clients à la sortie SANS même avoir l’excuse d’un portique déréglé qui sonne, c’est surprenant et minable – d’autant que de ça, la petite note affichée dans le magasin ne parle pas.

Pas sûr non plus que ça fidélise les clients !

06/01/2015

Personal branding d'hier et d’aujourd’hui

Bernard Pivot.jpgLe personal branding n’est pas récent … même si l’appellation l’est !

Blogueur au Page Rank de 5, twittos avec plus de 500 000 followers, présent sur Facebook avec plus de 150 000 fans, mais aussi sur Instagram avec près de 15 000 abonnées, sur Tumblr, Wat … Jean Marc Morandini peut aisément se considérer comme une marque puissante.

Bernard Pivot gazouille aussi sur Twitter, avec près de 250 000 abonnés, mais ne blogue pas, ne publie rien sur Instagram : bien que désormais nettement moins actif que son confrère, le journaliste également constitue une marque de qualité.

Pivot, Morandini : deux marques à forte notoriété, fondées sur de tout aussi fortes réputations – même si celles-ci ne se sont pas construites de la même manière.

Jean Marc Morandini publie sans discontinuer sur son blog, relaie l’information sur les réseaux sociaux – enfin, l’équipe Morandini semble sans cesse sur le pont, s’active à construire la marque Morandini : car on n’imagine pas un instant le journaliste seul devant l’écran de son ordinateur !

Bernard Pivot n’a ni bénéficié d’un tel soutien … ni de la puissance actuelle des médias sociaux : sa réputation, il se l’est bâtie en présentant des émissions très regardées, comme Apostrophes qui rassemblera jusqu'à 2 millions de téléspectateurs ; en organisant les championnats de France d'orthographe ; en créant et dirigeant le magazine Lire.

Bien sûr, il ne suffit pas de travailler dur pour réussir : il convient également que des gens parlent de votre travail, le commentent, il faut aussi bénéficier de relais d’opinion efficaces : ceux des autres journalistes, de la presse spécialisée bien sûr, mais pas seulement : la réputation de Pivot tient aussi aux soutiens de ses confrères, tous médias confondus.

L’incessante activité de Jean Marc Morandini à la télévision et à la radio lui vaudra également de nombreuses citations et reprises journalistiques ; mais contrairement à son confrère, il a pris en main sa destinée sur les médias sociaux et façonne à longueur de tweets et de posts sa propre réputation. Ici se situe la principale différence entre personal branding d'hier et d’aujourd’hui, dans cette possibilité retrouvé d’agir sur son propre destin médiatique.

A en croire Andy Warhol, « à l'avenir, chacun aura droit à 15 minutes de célébrité mondiale » : mais ça, c’était du temps de l’ancien monde vertical ; dans notre nouveau monde horizontal, celui du Web 2.0 et des médias sociaux, tout le monde (ou presque) peut accéder à la célébrité – et non pas seulement pendant 15 minutes : suffit de se construire un bon personal branding.

05/01/2015

Assurance et fidélisation, c’est compatible ?

fidélité.jpgPeut mieux faire certainement … mais quoi ? Et comment ? Rencontre avec Christian Parmentier qui organise fin janvier une conférence sur le sujet.

MarketingIsDead : Dans le mode l’assurance, la fidélité n’est plus ce qu’elle était ?           

Christian Parmentier : Depuis le début des années 90 les sociétés d'assurance se préoccupent de fidéliser leurs clients. A l'origine, la fidélisation était l'affaire des réseaux et la place de l'humain était prépondérante. Mais avec la reprise en main partielle de la relation client et les techniques de marketing, les sièges sociaux ont développé des outils sensés pallier l'attrition grandissante de ces consommateurs de plus en plus volages et harcelés de propositions et de comparaisons.

MarketingIsDead : Et ça marche ?

Christian Parmentier : La diversification vers des services représente une opportunité de mieux répondre aux attentes des clients et ainsi de les satisfaire, donc, pense-t-on, de les fidéliser …

L'heure étant au développement des communications sur les réseaux sociaux, un nouveau vecteur de fidélisation semble maintenant apparaître et, espèrent certains, apporter la solution magique !

Pour faire le point sur toutes ces « recettes » et découvrir comment aborder la problématique de la fidélisation clients de façon globale et efficiente, le LAB propose une Matinée d'échanges le 20 janvier prochain.

Avec notamment : Matthieu BEBEAR, Directeur Général d’AXA France ; Llaria DALLA POZZA, Marketing Professor à l’IPAG Business School & Lionel TEXIER, Directeur associé de Risk Analysis ; Fabienne GOARZIN, Directrice Associée de VERTONE.

Pour découvrir l’intégralité du programme et s’inscrire, c’est ici.

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