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23/06/2007

People Rock ? Papy rock ?

medium_Stones.JPGJ’étais dans la tribune, avec Robert (Hossein, 80 ans), Michel (Delpech, 61 ans), Daniel (Auteuil, 57 ans), et quelques autres… et même François (Fillon, 54 ans), comme l’a annoncé sur scène Mick (Jagger, 64 ans) : « Vous avez de la chance, Paris, vous avez votre nouveau Premier Ministre, monsieur Fillon ! ».

De la chance ? A voir, mais je pardonne Mick, il est anglais…

Les Rolling Stones en concert, ce sera toujours un événement, indépendamment des people sur les gradins : un événement plus nostalgique que hard, parce que le spectacle, fruit d’une longue complicité – il suffit de voir Keith Richards blaguer avec Ron Wood dans le dos de Mick Jagger -,  s’écrit quand même au passé.

Car malgré son titre, la tournée ne doit pas grand chose au dernier album éponyme, A Bigger Bang : on a surtout eu droit à un magnifique Sympathy for the Devil, un tout aussi extraordinaire Jumpin' Jack Flash, même si, personnellement, j’ai toujours un faible pour Tumbling Dice, de leur premier double album : Exile on Main Street !

Au présent, le hard rock, dans sa version minimaliste, ce sont les White Stripes : en concert au Zénith, lundi 11, après une expérience alternative au sein des Raconteurs, Jack White occupait presque seul la scène, jonglant d’une guitare et d’un micro à l’autre.

Presque seul, puisque les White Stripes, ce sont juste Jack et Meg White, elle à la batterie, un couple bien étrange de la scène américaine, issu de Detroit, certainement pas un des endroits les plus sympathiques à vivre des Etats Unis.

Ce qui est avant tout génial avec les White Stripes, c’est le son quasiment brut qui s’échappe de la guitare de Jack, soutenu à la perfection par les rythmes de batterie extrêmement basiques de Meg – femme, ex-femme, voire sœur, selon la légende qu’ils ont essayé de se construire.

Le dernier événement rock du printemps, ce sera le concert de mes copains de Licite Fondation à l’Elysée Montmartre le 30 juin pour la finale nationale Emergenza, après leur succès au New Monring.*

Et les Who ? Je n’ai pas eu le courage de les revoir sur scène, sans Keith Moon, ni John Entwistle, 35 ans après un extraordinaire concert à Amsterdam ; et surtout pas le courage d’entendre un Roger Daltrey dont la voix aurait enfin mué !

Nota : si vous souhaitez soutenir Licite Fondation le 30 juin à l’Elysée Montmartre, vous pouvez, avant le 29 juin, commander le pass deux jours au prix de 15 euros à : lf@licitefondation.net, et vous recevrez en prime leur CD gratuit !

* Voir l’interview des guitariste et bassiste dans ma note du 21 Avril dernier.

 

C’est pour votre bien…

medium_spam.gifJe m’étonnais : plus de proposition de Viagra – et pourtant, je dois être de plus en plus dans la cible – ni de super loterie et autres jeux en ligne type Las Vegas.

Je m’étonnais également de ne pas avoir reçu de réponse à un mail urgent, mais sans doute mon correspondant s’était-il absenté quelques jours, loin de toute connexion Internet.

Bref, le train-train habituel, avec un peu moins de spams… mais toujours les messages angoissés de ces veuves de diplomates Africains qui ne savent comment rapatrier en Europe la fortune de leur défunt époux, et en offrent généreusement la moitié à quiconque leur viendra en aide, moyennant une petite aide, en dépannage, pour faire face aux premiers frais !

Tout ce courrier inutile s’entassait gentiment dans le répertoire adéquat de ma messagerie Thunderbird – version gratuite d’Outlook, cousine de Firefox – quand l’idée me prit d’aller faire un tour sur le portail Webmaild’Orange, mon fournisseur d’accès… et découvrir avec intérêt la mise en œuvre d’un super Antispam !

Une bonne centaine de pourriels divers et variés gisaient là, dans un répertoire poubelle réservé à leur usage, sans même que je m’en doute, ni ait activé quelque nouvelle option : on me protégeait sans même me demander mon avis, quel altruisme !

Sauf que là se morfondait également la réponse à mon mail urgent, taggée spam par Orange ; j’ai aussitôt modifié le paramétrage de mon compte Orange, et les spams ont aussitôt disparu du portail pour s’engouffrer dans le dossier Spam de Thunderbird, où j’ai pu également sauver deux ou trois autres mails de moindre importance, mais tout aussi innocents que celui que je désespérais de ne pas recevoir.

Tout cela pour dire que les systèmes de protection automatique contre les pourriels, c’est bien… si on vous laisse superviser leur action. Mais qu’on décide de ce qui est bien pour moi sans m’en avertir me gêne profondément… surtout quand l’outil n’est pas exempt d’erreurs !