E-réputation et B2B : la gestion d'un capital
06/02/2013
Si le Web social constitue aujourd’hui une incontournable réalité, l’univers n’en demeure pas moins extrêmement sensible aux effets de mode, que renforcent d’innombrables raccourcis et approximations.
Effets de mode, Twitter et Facebook : non que nous souhaitions ici nier l’importance de ces deux réseaux … mais il y a une vie – extrêmement – riche, en dehors de Twitter et Facebook !
Raccourci et/ou approximation quand toutes les études qui décryptent le Web social sont nommées études d’e.réputation … alors que les sujets et les thématiques se révèlent incommensurément plus vastes ! Et surtout, que la notion d’e.réputation recouvre en marketing une réalité extrêmement précise, tout comme l’on parle par ailleurs de satisfaction clients ou d’image de marque.
Quoiqu’il en soit, d’effets de mode en approximations, cette notion d’e.réputation se charge d’une ineffable futilité – quelque-chose de pas très sérieux … et surtout totalement incompatible dans le domaine on ne peut plus raisonnable du B2B … quoique l’on pourrait certainement bien trouver à dire sur ce dernier point.
En fait, l’idée de réputation (sans « e. ») apparaît bien antérieure en B2B, les réseaux physiques existant depuis toujours : ils constituent même bien souvent le 1er vecteur commercial du B2B ; alors qu’en B2C, et jusqu’à très récemment, on ne s’intéressait essentiellement qu’à l’image des marques (et non à leur réputation), que l’on soignait à coups de millions d’investissements publicitaires.
On le comprendra aisément, il était grandement temps de mettre un peu d’ordre dans tout ce fatras – et c’est ce à quoi l’Adetem et l’Aproged se sont attachés au sein du livre blanc : E-réputation et B2B : la gestion d'un capital, en téléchargement ici.
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