Du Traité de Lisbonne à la Société Générale
01/02/2008
Cela étant, à droite, c’était le silence le plus absolu – ou presque …
Vendredi dernier, j’ai voulu jauger les premières réactions à l’aventure de la Société Générale : et il y avait matière !
A droite – bis repetita – c’était le silence le plus absolu – ou presque …
A gauche, Ségolène Royale prenait la parole pour se déclarer « choquée par le scandale de la Société générale » … et ne pas en dire réellement plus : « Je veux que l'Etat recadre les banques ». Bien : so what ?
Quand tout le monde s’interroge et s’inquiète, on s’attendrait mieux … à droite comme à gauche. Des prises de position fermes. Des propositions claires.
Une fois encore le débat est ailleurs ! Dans ces milliers de posts qui commentent l’actualité : « Les marchés sont des conversations », disaient les pères du Cluetrain Manifesto* … la politique n’échappent pas à la règle !
Sauf que sur le sujet, les politiques se montrent encore plus mauvais que les marques : mais si le marketing politique ne s’en relève pas, serait-ce si grave ?
Nota – Mon papier : "Société Générale : le début d’une longue histoire !" sur les premières réactions des blogueurs, se trouve sur un nouveau blog auquel je collabore également, un blog entièrement dédié à "l’intelligence de l’intelligence collective". Non je ne bégaie pas, allez donc juger sur place : http://www.intelligencecollective.info
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